Mme DOMINIQUE AMET-BOURDEAUX, le 07/12/2017
C'EST VERS LA FAMILLE QUE VONT MA GRATITUDE ET MON SOUTIEN , QU'ILS ALLÈGENT AUTANT QUE FAIRE SE PEUT, LES PEINES DE LA TRAVERSÉE DE LA MALADIE ET DE LA SÉPARATION. NOUS CHEMINONS ENSEMBLE SUR LA MÊME ROUTE ET NUL NE DOIT SE SENTIR SEUL !
VERS BERNADETTE JE ME TOURNE, UN FRANC SOURIRE SUR LE VISAGE : JE SAIS QU'ELLE A TOUT DONNÉ ET TOUT FAIT POUR SA GRANDE FAMILLE ET JE ME FÉLICITE DE L'AVOIR CONNUE ET D'AVOIR EU SA CONFIANCE DANS MA JEUNESSE.
A JACQUES, SANS RIEN DIRE, NOUS PENSONS QUE NOUS AVONS EU DE LA CHANCE.
QUE LES JOURS À VENIR SOIENT ADOUCIS PAR VOTRE UNITÉ.
BIEN AFFECTUEUSEMENT, DOMINIQUE
M.et Mme Bernadette et Sylvain Bergerot, le 08/12/2017
Ma chère Francoise, chers amis
Comment vous dire combien je partage votre chagrin. Votre maman est partie retrouver les amis d’Epinal, de Chantraine, les Amet, Jean et Elisabeth, avec qui ils ont passé tant de chouettes moments.
Embrasse Jacques très affectueusement pour moi, ton papa dont j’imagine le sentiment de solitude aujourd’hui. Je sais que toute votre troupe, les treize petits-enfants et l’est dix-neuf arrière, sauront entourer votre aîné dans les temps qui viennent.
Nous avions prévu de venir à Vaison-la-Romaine, un empêchement nous retient à Montpellier. Mais je serai avec vous tous par la pensée.
Très amicalement
Bernadette