M. patrick dulac, le 27/09/2015
Chère Madame, Cher Éric,
J’ai appris par le journal le décès de Monsieur Quentin ; ayant perdu tout contact avec la profession, je ne sais pas dans quelles conditions sa disparition est advenue. Malgré cette bonne vingtaine d’années passées depuis que nous nous sommes vus, je n’ai pas oublié « la maison Quentin » où il faisait bon aller parce que nous étions toujours reçus avec gentillesse et fidélité (et bonne humeur !) ; je revois très bien le magasin, la cuisine, le fournil…et vous aussi ! Monsieur Quentin était un « brave et honnête homme » au sens noble du terme, c’est pourquoi, à la maison Dulac, chacun l’aimait et le respectait.
Je vous prie d’accepter mes condoléances attristées, et je vous adresse le message de toute ma sympathie et de mon meilleur souvenir.
Je ne pourrai pas me rendre lundi à la cérémonie religieuse, mais j’aurai à 15 heures une pensée émue pour toute la famille Quentin.
Patrick Dulac